Pekin Beijing

Malgré les nombreuses critiques faites au CIO quant à son choix d’octroyer à Pékin les Jeux Olympiques 2008, son président Jacques Rogge déclare qu’il n’a aucun regret.

A quelques mois de l’ouverture des Jeux à Pékin de nombreuses organisations appellent au boycott en prétextant que la Chine ne respecte pas les droits de l’homme, que de nombreux sites olympiques ne sont pas à l’abri de la pollution et que les chinois ont une politique étrangère agressive.

Jacques Rogge, président du Comité international olympique (CIO), déclare qu’il ne représente qu’une association sportive et qu’on ne peut lui reprocher de ne pas réussir là où de nombreux chefs d’états ont échoué. Que le CIO n’est pas une organisation vouée à la résolution des problèmes de discrimination dans le monde même si les jeux ont contribué par le passer à régler certains problèmes.

Jacques Rogge estime que les Jeux Olympiques de Pékin permettront à la Chine d’évoluer, en particulier en ce qui concerne les réformes judiciaires et le travail des enfants.

Le président du CIO affirme également que la Chine fait de nombreux efforts pour combattre la pollution et faire en sorte que la qualité de l’air soit la meilleure lors des épreuves olympiques.

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