Sarkozy contrôlé positif à Pékin
Contrairement à ce que beaucoup pensaient, le président français Nicolas Sarkozy ne logera pas dans la suite présidentielle de l’hôtel Sofitel Wanda Beijing le soir de la cérémonie d’ouverture des Jeux de Pékin.
Sarkozy ne passera finalement que 10 heures à Pékin où il rencontrera le président Hu Jintao avant de se rendre au Stade Olympique pour assister à la cérémonie d’ouverture, avant de reprendre l’avion pour Paris le soir-même.
Un véritable sprint pour le président français que tout le monde soupçonne déjà de dopage si on en juge par son programme lors de sa visite éclair à Pékin.
D’autres pensent que Nicolas Sarkozy serait vexait de ne pas pouvoir dormir dans le lit de 3 m sur 3 de la suite de 800 m² du Sofitel Wanda Beijing, celle-ci ayant déjà été attribuée, étant donné l’indécision du président français, à un autre chef d’État.
Arrivé à Pékin en fin de matinée (11h00) il ira déjeuner avec d’autres chefs d’État étrangers au Palais du Peuple. Sans prendre le temps de digérer Sarkozy se rendra au pas de course au village olympique pour encourager les français sélectionnés pour ces Jeux Olympiques 2008 (quelques 315 sportifs).
Puis notre marathonien élyséen repartira en direction du Palais du Peuple où le président de la Chine Hu Jintao l’attendra à 15h30 pour un grand oral de moins d’une heure.
En terminant cette troisième épreuve de la journée Sarkozy enchaînera avec une quatrième rencontre à 16h20 qui cette fois-ci l’opposera au Premier Ministre chinois Wen Jibao.
La Cinquième épreuve de la journée consistera en une rencontre informelle avec le président des Etats-Unis Georges Bush dans les tribunes du Nid d’Oeuf, assistant au milieu d’autres chefs d’État étrangers au spectacle de la Cérémonie d’Ouverture des Jeux.
Quelques minutes après le discours officiel de l’ouverture de la 29ème olympiade, Nicolas Sarkozy montera dans une voiture pour se rendre aussi vite que Sébastien Loeb pourrait le faire jusqu’à l’aéroport de Pékin.
Le président français se précipitera alors dans l’avion qui doit le ramener à Paris avant que les Juges du Comité Olympique puissent lui faire passer un test anti-dopage.
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